Otto de Habsbourg-Lorraine
L'archiduc d'Autriche en 2004.
Succession
Prétendant aux trônes d’Autriche et de Hongrie
1er avril 1922 — 1er janvier 2007
(84 ans et 9 mois)
Données clés
Nom revendiqué « Othon Ier d’Autriche »
« Othon Ier de Hongrie »
Prédécesseur Charles Ier et IV, empereur d’Autriche, roi de Hongrie
Successeur Charles de Habsbourg-Lorraine
Biographie
Titulature « Prince impérial et archiduc d’Autriche, prince de Hongrie et de Bohême »
Dynastie Maison de Habsbourg-Lorraine
Nom de naissance Erzherzog Franz Joseph Otto Robert Maria Anton Karl Max Heinrich Sixtus Xaver Felix Renatus Ludwig Gaetan Pius Ignatius von Österreich
Naissance 20 novembre 1912
Reichenau an der Rax (Autriche-Hongrie)
Décès 4 juillet 2011 (à 98 ans)
Pöcking (Allemagne)
Sépulture Crypte des Capucins de Vienne (corps)
Abbaye de Pannonhalma (cœur)
Père Charles Ier d’Autriche
Mère Zita de Bourbon-Parme
Conjoint Regina de Saxe-Meiningen
Enfants
Andrea (en)
Monika (en)
Michaela (en)
Gabriela (en)
Walburga (en)
Karl
Georg
Religion Catholicisme romain
Prétendants aux trônes d’Autriche et de Hongrie
Otto de Habsbourg-Lorraine (en allemand : Otto (von) Habsburg-Lothringen), archiduc d'Autriche, prince royal de Hongrie et de Bohème, est né le 20 novembre 1912 à Reichenau an der Rax, et mort le 4 juillet 2011 à Pöcking en Bavière, Allemagne.
Fils aîné de Charles Ier, dernier empereur d'Autriche et dernier roi de Hongrie et de Bohême, il était le chef de la maison de Habsbourg-Lorraine (branche aînée de la maison de Lorraine) et prétendant aux trônes d'Autriche et de Hongrie.
Il était président du Comité international pour le français langue européenne, du Mouvement pan-européen (1973-2004) et député au Parlement européen (1979-1999).
En janvier 2007, il renonce à son rôle de prétendant au trône et c'est son fils aîné, l'archiduc Charles de Habsbourg-Lorraine, qui lui succède.
Le prince héritier
En novembre 1916, à la mort de son grand-oncle l'empereur François-Joseph, le père d'Otto monte sur le trône et l'enfant devient héritier de l'empire d'Autriche et des royaumes de Hongrie et de Bohême.
En 1918, avec la défaite de l'empire austro-hongrois, Charles Ier renonce à toute forme de participation au gouvernement sans abdiquer formellement face aux troubles populaires et révolutionnaires.
Les trois monarchies sont abolies : l'Autriche, la Hongrie et la Bohême sont proclamées républiques, et la famille impériale doit s'exiler.
Par la loi d'exil dite « loi sur les Habsbourg (en) » (Habsburgergesetz du 3 avril 1919), le Parlement autrichien bannit officiellement les Habsbourg-Lorraine et récupère leurs propriétés courtoises.
Après deux vaines tentatives du roi Charles pour reprendre son trône, en mars et octobre 1921, la Hongrie, bien que se déclarant être une monarchie, destitue les Habsbourg, le 6 novembre 1921.
De la sorte, Otto se déclare ou se fait déclarer, par ses partisans, « prétendant » aux trônes d'Autriche et de Hongrie.
La famille impériale se réfugie à Madère, où le jeune empereur et roi meurt prématurément de maladie à l'âge de 34 ans, le 1er avril 1922.
Otto devient alors le prétendant au trône.
Le prétendant au trône
Entre-deux-guerres
Après le décès de son père, l'archiduc Otto vit dans différents pays : l'Espagne (invité par le roi Alphonse XIII à s'installer dans la commune du Pays basque Lekeitio), la France, la Belgique en 1929 où, après des études secondaires à l'abbaye bénédictine de Clervaux, il fréquente l'université catholique de Louvain et y obtient en 1935 un doctorat en sciences politiques et sociales, le Canada (au Québec) en 1940, les États-Unis (New York)
La Seconde Guerre mondiale
Otto de Habsbourg-Lorraine doit en 1940, avec sa famille, fuir la Belgique, puis la France, au début de l'offensive d'Hitler, qui le déteste car Otto de Habsbourg s'est publiquement opposé à l'Anschluss en 1938.
Grâce au consul portugais à Bordeaux, Aristides de Sousa Mendes, les Habsbourg-Lorraine obtiennent des visas pour passer la frontière franco-espagnole et ensuite quitter l'Europe pour les États-Unis où ils s'installent à Washington où le prince voit fréquemment le président Roosevelt, nouant des relations amicales avec lui.
Depuis 1945 : la vocation européenne
Après la Seconde Guerre mondiale, Otto vit en exil entre la Bavière, la France et une résidence au Pays basque espagnol.
À partir de 1954, il s'installe dans une confortable villa de Pöcking dans le Land de Bavière, sa femme Regina s'y occupant de l'éducation de leurs enfants car lui est trop absorbé dans ses voyages pour expliquer l'Europe.
En 1961, il renonce officiellement à ses prétentions sur le trône d'Autriche au profit de la construction d'une Europe forte, unie et chrétienne, mais il n'est autorisé à revenir dans son pays natal qu'en 1966 sous le nom de « Dr Habsbourg Otto Lorraine ».
Otto de Habsbourg est naturalisé ouest-allemand en 1978 sous le nom d'« Otto Habsburg-Lothringen ».
Membre de la Ligue anti-communiste mondiale, il fait partie du comité de parrainage du Cercle Renaissance, une organisation similaire française.
Partisan de l'unité européenne, il est député au Parlement européen de 1979 à 1999, représentant du Land allemand de Bavière au sein de la formation conservatrice CSU.
Doyen d'âge, il préside par deux fois la séance inaugurale du Parlement européen.
Il fonde, avec un groupe de députés européens favorables à l'apprentissage de la langue française, le GEDULF, qui fait la promotion du français comme langue de référence de l'Europe ; il conteste à l'anglais cette place, au nom de la spécificité et de l'indépendance européenne par rapport aux États-Unis.
Début 1989, il récupère la nationalité hongroise, et est reçu à Budapest qui vient de remettre en place la statue de l'impératrice Sissi.
Comme il parle le hongrois et vient souvent dans le pays, ses partisans lui proposent d'être candidat à la présidence de la République, mais il refuse.
Le 3 avril, il assiste dans l'église du roi Matthias à Budapest, à une messe de requiem célébrée par le cardinal-primat de Hongrie, à la mémoire de sa mère, l'impératrice Zita de Bourbon-Parme.
En août, son parti, le Mouvement pan-européen organise, près de Sopron, un vaste pique-nique, à l'occasion duquel plus de cinq cents Allemands de l'Est, en jogging, forcent la frontière austro-hongroise, pour se réfugier à l'Ouest.
Il est membre de la Société du Mont Pèlerin et participe à l'écriture d'un livre en hommage à l'économiste de l'école autrichienne d'économie, Ludwig von Mises.
Invité par le groupe conservateur (ÖVP) au Parlement autrichien, le 10 mars 2008, à l'occasion de la commémoration des 70 ans de l'Anschluss, il déclenche une polémique en déclarant que l'Autriche a été le principal pays victime de la Seconde Guerre mondiale, en estimant que le 15 mars 1938, lors de l'entrée d'Hitler sur la Heldenplatz, il n'y avait que 60 000 personnes, affluence comparable à celle d'« un match de football le week-end », alors que les historiens estiment cette foule à 250 000.
Ses déclarations relancent le débat sur le rapport des Autrichiens à leur passé pendant la Seconde Guerre mondiale.
Mort
Otto de Habsbourg-Lorraine dans son cercueil recouvert de l'étendard des Habsbourg, à Pöcking.
Les gardes d'honneur sont habillés en uniformes austro-hongrois.
Otto de Habsbourg-Lorraine meurt le 4 juillet 2011 à son domicile de Pöcking en Bavière.
Selon sa famille, il s'est « endormi paisiblement ».
Le 5 juillet, son corps est mis en bière dans l'église Saint-Ulrich près de son domicile.
Des commémorations, s'étalant sur 13 jours, sont organisées dans plusieurs pays qui faisaient partie de l'ancien empire d'Autriche-Hongrie.
Le cercueil d'Otto est recouvert du drapeau des Habsbourg décoré avec les manteaux impériaux et royaux de l'Autriche et de la Hongrie.
Six messes de requiem se succèdent en mémoire de l'archiduc :
à la chapelle Saint-Ulrich de Pöcking le 9 juillet, célébrée par l'évêque d'Augsbourg, Mgr Konrad Zdarsa
en l'église Saint-François des Cordeliers de Nancy, lieu de sépulture de la Maison de Lorraine, qui fut également célébrée le 9 juillet
à l'église des Théatins à Munich le 11 juillet, célébrée par le cardinal-archevêque de Munich, Mgr Reinhard Marx, où une lettre de condoléances du pape Benoît XVI a été lue.
à la basilique de Mariazell le 13 juillet, célébrée par l'évêque de Graz, Mgr Egon Kapellari. La basilique est le plus important lieu de pèlerinage de l'Autriche
à la cathédrale Saint-Étienne de Vienne le 16 juillet, célébrée par le cardinal-archevêque de Vienne, Mgr Christoph Schönborn — de nombreuses personnalités sont attendues à cette messe de requiem, parmi lesquelles le roi Charles XVI Gustave de Suède, le grand-duc Henri de Luxembourg et le prince Hans-Adam II de Liechtenstein — cette messe est suivie d'un cortège funèbre à travers l'Innere Stadt avant la mise au tombeau de l'archiduc (à l'exception de son cœur) dans la crypte des Capucins, aux côtés de son épouse décédée en 2010
à la basilique Saint-Étienne de Budapest le 17 juillet, concélébrée par le cardinal-archevêque Mgr László Paskai et plusieurs évêques hongrois, suivi de l'inhumation du cœur de l'archiduc à l'Abbaye de Pannonhalma.
Otto et la Lorraine
Otto de Habsbourg demeure très attaché à la Lorraine, sentimentalement et symboliquement.
Cet attachement passe par la conservation du nom de « Lorraine » à la suite de son nom « de Habsbourg », et par des visites régulières en Lorraine (notamment à Nancy pour son mariage, ses noces d'or et pour la restauration du château de Lunéville).
Il porte d'ailleurs le titre de duc de Bar.
Le 9 juillet 2011 une messe de requiem, célébrée en l'église des Cordeliers de Nancy par les prêtres de l'Oratoire Saint-Philippe Néri, a rassemblé 350 personnes.
Famille
Le cortège du mariage rue Saint-Dizier.
Son mariage avec la princesse Regina de Saxe-Meiningen fut célébré à Nancy, sur la terre de ses ancêtres Lorrains, le 10 mai 1951.
Il a été marié pendant 58 ans, jusqu'au décès de son épouse, la princesse Regina de Saxe-Meiningen (née le 6 janvier 1925 et décédée le 3 février 2010), fille de Georges III de Saxe-Meiningen-Hildburghausen et, de leur mariage, il est le père de sept enfants (dont des jumelles) :
Andrea (née en 1953), qui épouse en 1977 le comte Karl Eugen von Neipperg (né en 1951), apparenté à Adam Albert de Neipperg, le second époux de Marie-Louise d'Autriche, et postérité
Monika (née en 1954), qui épouse en 1980 Don Luis de Casanova-Cárdenas (né en 1950), et postérité
Michaela (née en 1954), qui épouse en 1984 (div) Eric Alba Teran d'Antin (1920-2004), avec postérité, puis en 1994 (div 1998) le comte Hubertus von Kageneck, sans postérité
Gabriela (née en 1956), qui épouse en 1978 (div) Christian Meister (né en 1954), et postérité
Walburga (née en 1958), qui épouse en 1992 le comte Archibald Douglas (né en 1949), et postérité
Karl (né en 1961), qui épouse en 1993 la baronne Francesca Thyssen-Bornemisza (née en 1958), avec postérité, mais dont il se sépare en 2003. Il est l'actuel prétendant au trône d'Autriche depuis 2007
Georg (né en 1964), qui épouse en 1997 la princesse Eilika von Oldenburg (née en 1972), et postérité.
Otto de Habsbourg s'est marié civilement en France, à la mairie de Nancy, le 10 mai 1951, l'acte de mariage le nomme en français : « Son Altesse impériale et royale François Joseph Otto (...) d'Autriche, duc de Lorraine ».
En plus du titre de duc de Lorraine, Otto est parfois titré « duc de Bar » par ses partisans.
Ensuite il s'est rendu à l'église Saint-François-des-Cordeliers à Nancy pour le mariage religieux.
Cinquante ans plus tard, pour célébrer leurs noces d'or en mai 2001, le couple s'est de nouveau rendu à Nancy.
tombe d otto dans la crypte de capucins a Vienne
Ancêtres
v · m Ascendance des enfants de Charles Ier d'Autriche et Zita de Bourbon-Parme, avec numérotation
du degré 0, tous les frères et sœurs de qui c'est la liste d'ascendance (dits de la 1re génération ascendante :
chacun no 1) :
1.1 Otto (1912-2011)
1.2 Adélaïde (1914-1971)
1.3 Robert (1915-1996)
1.4 Félix (1916-2011)
1.5 Karl-Ludwig (1918-2007)
1.6 Rodolphe (1919-2010)
1.7 Charlotte (1921-1989)
1.8 Élisabeth (1922-1993)
les 2 ancêtres du degré 1, parents ou père et mère (2e génération ascendante : no 2 et 3) :
2. Charles Ier d'Autriche (1887-1922) ou Charles François Joseph de Habsbourg-Lorraine,
empereur d'Autriche-Hongrie, roi de Hongrie, roi de Bohême
3. Zita de Bourbon-Parme (1892-1989), dernière impératrice d'Autriche, reine de Hongrie et reine de Bohême
les 4 ancêtres du degré 2 ; grands-parents ou aïeuls (3e génération ascendante : no 4 à 7) :
4. Otto de Habsbourg-Lorraine (1865-1906),
archiduc d'Autriche, neveu de l'empereur Maximilien Ier du Mexique
5. Marie-Josèphe de Saxe (1867-1944)
6. Robert Ier de Parme (1848-1907) ou Robert de Bourbon,
duc de Parme (le dernier souverain du duché) et de Plaisance et Guastalla
7. Antónia de Bragance (1862-1959), infante de Portugal
les 8 ancêtres du degré 3, arrière-grands-parents ou bisaïeuls (4e génération ascendante : no 8 à 15) :
8. Charles-Louis de Habsbourg (1833-1896), archiduc
9. Marie de l'Annonciation des Deux-Siciles (1843-1871)
10. Georges Ier de Saxe (1832-1904), roi de Saxe (1902-1904),
cousin de son épouse Marie-Anne de Portugal (1843-1884)
11. Marie-Anne de Portugal (1843-1884), Infante du Portugal,
12. Charles III de Parme (1823-1854), duc de Parme, Plaisance et Guastalla,
cousin de son épouse Louise Marie Thérèse d'Artois (1819-1864)
13. Louise Marie Thérèse d'Artois (1819-1864), petite-fille du roi Charles X de France
14. Michel Ier de Portugal (1802-1866), roi de Portugal et des Algarves
15. Adélaïde de Löwenstein-Wertheim-Rosenberg (1831-1909)
les 16 ancêtres du degré 4, arrière-arrière-grands-parents ou trisaïeuls (5e génération ascendante : no 16 à 31) :
16. François-Charles d'Autriche (1802-1878), archiduc,
frère de Marie-Louise, l'épouse de Napoléon Ier; et père de deux empereurs (l'un d'Autriche, l'autre du Mexique)
17. Sophie de Bavière (1805-1872), princesse de Bavière puis archiduchesse d'Autriche,
mère des empereurs François-Joseph Ier d'Autriche et Maximilien Ier du Mexique
18. Ferdinand II des Deux-Siciles (1810-1859), roi des Deux-Siciles
19. Marie-Thérèse d'Autriche (1816-1867)
20. Jean Ier de Saxe (1801-1873), roi de Saxe
21. Amélie de Bavière (1801-1877)
22. Ferdinand II de Portugal par mariage, né Ferdinand de Saxe-Cobourg-Gotha (1816-1885), roi consort jusqu'en 1853
neveu du roi Léopold Ier de Belgique et cousin germain de la future reine Victoria d'Angleterre
23. Marie II de Portugal (1819-1853), reine de Portugal et des Algarves
24. Charles II de Parme (1799-1883) ou Charles II de Bourbon-Parme
25. Marie-Thérèse de Savoie (1803-1879)
26. Charles Ferdinand d'Artois (1778-1820), duc de Berry
27. Caroline de Bourbon (1798-1870)
28. Jean VI de Portugal (1767-1826), ou João VI de Portugal, le Clément,
roi du Royaume-Uni de Portugal, du Brésil et des Algarves
29. Charlotte Joachime d'Espagne (1775-1830)
30. Constantine, Hereditary Prince of Löwenstein-Wertheim-Rosenberg (1802-1838)
31. Princess Agnes of Hohenlohe-Langenburg (1804-1833)
sur les 32 ancêtres du degré 5, quadrisaïeuls (6e génération ascendante : no 32 à 63) :
32. François Ier d'Autriche (1768-1835) ou François II du Saint-Empire, empereur
33. Marie-Thérèse de Bourbon-Naples (1772-1807), la première impératrice d'Autriche
…
36. François Ier des Deux-Siciles (1777-1830), roi des Deux-Siciles
37. Marie-Isabelle d'Espagne (1789-1848)
…
52. Charles X de France (1757-1836), comte d'Artois, roi de France et de Navarre (1824-1830),
frère des rois de France Louis XVI et Louis XVIII
53.
…
56. Pierre III de Portugal (1717-1786), roi consort, oncle de son épouse, Marie Ire de Portugal
57. Marie Ire de Portugal (1734-1816), dite la Pieuse (au Portugal) ou la Folle (au Brésil),
reine du Royaume-Uni de Portugal, du Brésil et des Algarves
…
sur les 64 ancêtres du degré 6 (7e génération ascendante : no 64 à 127) :
64. Léopold II du Saint-Empire (1747-1792)
65.
66. Ferdinand Ier des Deux-Siciles (1751-1825),
roi de Sicile (péninsulaire) Ferdinand IV de Naples et roi de Sicile (insulaire) Ferdinand III de Sicile
67. Marie-Caroline d'Autriche (1752-1814), archiduchesse,
reine consort des royaumes de Naples et de Sicile, par son mariage
...
108. = 52.
109.
…
112, Jean V de Portugal (1689-1750), le Magnanime
113. Marie-Anne d'Autriche (1683-1754)
114. Joseph Ier de Portugal (1714-1777), roi de Portugal et des Algarves
115.
…
sur les 128 ancêtres du degré 7 (8e génération ascendante : no 128 à 255) :
128. François Ier du Saint-Empire (1708-1765)
129.
…
224. Jean V de Portugal (1689-1750) ou Jean V le Magnanime (en portugais : João o Magnânimo),
roi de Portugal et des Algarves
225.
sur les 256 ancêtres du degré 8 (9e génération ascendante : no 256 à 511) :
448. Pierre II de Portugal (1648-1706), roi de Portugal et des Algarves
449.